«Dans mon travail, je transpose les méthodes empiriques de l'art vivant (danse contemporaine, performance) vers une forme rénovée de création visuelle réunissant le temps du vivant et la durée de l'image. C'est le moment où l'action se concentre en un instantané, où le mouvement se réduit à une seule image, où l'événement se produit dans un espace à la fois réel et symbolique. J'observe la façon dont les corps s’organisent pour former des entités politiques, le rapport entre la forme d’un mouvement collectif et son corps idéologique où coïncident l’expérience corporelle et sa définition iconique. Les arguments de mes travaux trouvent une forme autonome en adéquation avec une thématique récurrente qui pourrait se résumer ainsi : Repartir à zéro, mais dans quel sens? Je m’attache au mouvement des corps comme phénomène narratif et politique, au mouvement des images comme phénomène chorégraphique et anthropologique. Cette collusion des termes et des gestes est l’essence mon travail, elle se décline dans mes orientations pédagogiques à l'aune d'une période où les enjeux de la société sont immenses. »
SCHOOL ?
Ici, les participants font état de leurs obsessions intimes et idéologiques à partir de leurs compétences en suivant leurs désirs et en utilisant leur corps, qu'ils soient jeunes danseurs, plasticiens... Une façon d’intégrer de nouvelles coordonnées sociales, culturelles et esthétiques.
ll s'agit de susciter des actions collectives où les participants alternent des propositions et leur contraire (propre ou figuré) immédiat. Déclencher des gestes «primitifs» (qui n’ont d’autres dénominations que des adjectifs comme par exemple «burlesques», «puissants» ou encore «chorégraphiques») à partir de formes préalablement élaborées. C'est une création «inconsciente» qui est pourtant la conséquence d'une somme de règles précises. Révéler en creux la parenté secrète de l’inconscient et de l’artistique, du poétique et du technique et déclencher un passage à l'acte chez de jeunes artistes...
Préfiguration d'une école d'art utopique qui tend vers une attitude et des comportements où l’acte préfigure la théorie. Une forme de protocole artistique qui pourrait faire exemple d’un comportement collectif.
Chaque workshop fait l'objet d'un film tourné et monté en simultané (Il est diffusé à l'issue de la session si le contexte le permet. Une restitution vivante peut être envisagée). Chaque épisode filmé est adapté au
montage global à l'issue de l'ensemble des workshops.
Ici, les participants font état de leurs obsessions intimes et idéologiques à partir de leurs compétences en suivant leurs désirs et en utilisant leur corps, qu'ils soient jeunes danseurs, plasticiens... Une façon d’intégrer de nouvelles coordonnées sociales, culturelles et esthétiques.
ll s'agit de susciter des actions collectives où les participants alternent des propositions et leur contraire (propre ou figuré) immédiat. Déclencher des gestes «primitifs» (qui n’ont d’autres dénominations que des adjectifs comme par exemple «burlesques», «puissants» ou encore «chorégraphiques») à partir de formes préalablement élaborées. C'est une création «inconsciente» qui est pourtant la conséquence d'une somme de règles précises. Révéler en creux la parenté secrète de l’inconscient et de l’artistique, du poétique et du technique et déclencher un passage à l'acte chez de jeunes artistes...
Préfiguration d'une école d'art utopique qui tend vers une attitude et des comportements où l’acte préfigure la théorie. Une forme de protocole artistique qui pourrait faire exemple d’un comportement collectif.
Chaque workshop fait l'objet d'un film tourné et monté en simultané (Il est diffusé à l'issue de la session si le contexte le permet. Une restitution vivante peut être envisagée). Chaque épisode filmé est adapté au
montage global à l'issue de l'ensemble des workshops.